Bleach Seken
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On en a gros ! WIP
Nilusu Geratzeou
Nilusu Geratzeou
Messages : 1
Date d'inscription : 04/09/2023
Dim 10 Sep - 9:29
Qu'est-ce qu'il dit ?
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Ouh lala c'est chaud !
Nom:Geratzeou - aussi appelé Gratz
Prénom:Nilusu - Appelé Nils
Surnom: Papy
Âge:Environ 1 000 ans
Sexe: Homme
Race: Shinigami
Affiliation: 5ème Division
CaractèreNils est vieux. Très vieux. Encore il serait juste vieux et puis ça s'arrêterait là, pourquoi pas ! Mais nan, il est si vieux à la fois sur son corps que dans sa tête.

Ancien soldat d'une ère remplie de samourais, le vieux Nils avait toujours pris l'habitude de servir de façon exemplaire ses maitres mais surtout ses maitresses. Il a en réalité gardé ce trait de caractère offrant une certaine loyauté indéfectible à celui ou celle qu'il protège... juste qu'il aura tendance à préférer protéger les femmes. Bon okay. En vrai, c'est les culottes des femmes qu'il aime protéger. Afficionado et pervers, voila ce que le vieux est devenu depuis qu'il est mort. Trahi dans sa vie mortelle, il gouta au plaisir de la vie uniquement dans sa mort. Finalement, c'est plus un viking dans le Valhala qu'un vieux dans le seireitei. A croire que le vieillard, trop déçu des évolutions de la vie profiterait bien plus de la mort et des petites culottes.

Ayant vécu une vie mortelle essentiellement basée sur le travail et le code de l'honneur, Nils, sans pour autant s'en souvenir fuit tout cet attrait et ce qui le rappelle à cette vie la. Flemmard, glandeur et tête en l'air la plupart du temps, il parait la plupart du temps ne pas comprendre ce qui se passe autour de lui et répond souvent à côté de la plaque. En réalité, il ne comprend vraiment pas grand chose : hermétique à la notion de technologie, il reste persuadé que "c'était mieux avant" et que "c'est plus ce que c'était", toutes ces nouveautés n'étant qu'une source de distraction et de corruption de la jeunesse et des nouvelles générations.

Son incapacité à détecter les liens font de lui un personnage des plus naïfs et surtout qui n'en fait qu'à sa tête, toujours est-il que gagner sa confiance est une chose totalement facile. Surtout si vous lui offrez une culotte.
ZanpakutōIfrit - Zanpakuto de feu

Shikai : Simple katana assez stylisé
Shikai:
HistoireBien qu'il ne s'en souvienne pas, Nilusu a d'abord vécu dans le monde mortel il y a fort longtemps, une période si lointaine qu'elle fut probablement oubliée de tous en nos jours. Du moins l'histoire de l'ancêtre fut surtout d'une banalité hors du commun. Originaire d'un clan de samouraïs, le vieillard alors jeune homme à l'époque, s'était arrangé pour servir auprès d'un noble de sa région. Il avait longtemps laissé le sens du devoir le guider, il était le sabre sans peur de son maitre sans jamais remettre en question le moindre de ses ordres. Pendant longtemps, il s'était construit une petite réputation qui aurait pu lui offrir des terres mais rien n'était plus important pour le Geratzeou que de servir.

Ainsi, il progressa longtemps dans sa vie de mortel comme un maitre au sabre, commençant certes par servir et terminant sa carrière comme maitre pour les apprentis samourais eux aussi amenés à entrer au service de personnalités et/ou partir en guerre. Toute sa vie s'était résumée ainsi et, bien que ce fut particulièrement rare à l'époque, il parvint à survivre jusqu'à un age relativement avancé, décédant alors telle une belle merde dans un entrainement après s'être foulé la cheville. Dans un combat pas du tout acharné, il montra un mouvement complexe à ses élèves lorsqu'il glissa et, finalement, se fractura un col du fémur. Le pauvre ne s'en releva jamais : les étudiants inquiets l'avaient aidé à le relever, ce qui déplaça malheureusement les os de l'ancêtre qui se retrouva tout bonnement paralysé. Ainsi, tel les fiers destriers de l'époque... on choisit d'abréger ses souffrances.

Il paraitrait que dans ces moments là, on revoit sa vie passer devant ses yeux. Le pauvre vieux n'y avait finalement vu qu'une vie pleine de service et de renoncement de ses propres désirs. Il était certes devenu fort mais ne s'était jamais battu pour lui, encore moins pour assouvir son propre besoin. Tout ça pour quoi ? Pour simplement mourir tel le déchet qu'on mettrait au compost quelques heures plus tard. C'est ainsi, que le papy, naquit véritablement dans le Rukongai.

______________________________

Le réveil du vieil homme fut pour le moins difficile et surtout différent : seulement porteur de son nom, il se créa une vie bien artificiel dans un premier temps. Les restes de sa personnalité semblaient rester présentes et profondément ancrées chez le Geratzeou. Ainsi, il habita de longues années dans les quartiers pauvres où il se familiarisa principalement avec la famine et les petites gens. En un sens, il était pour le moins atteint d'une forme de timidité dans les prémices, se contentant de très peu et ne mangeant que trop peu à sa faim finalement.

Son sens du devoir restait toujours une vertu qui l'empêchait de commettre des vols au quotidien pour tenter de survivre mais il en subissait les frais, perdant en force spirituelle très souvent. Il fut néanmoins remarqué par quelques loubards qui se servirent bien vite de lui comme d'un outil pour de basses besognes. C'était peut être dans ces moments là que le vieillard se sentait des plus inutiles et surtout des plus instrumentalisé.

Au cours de ces quelques siècles, les populations venaient et partaient. De part son côté assez timide mais connaissant de plus en plus le coin, certaines jeunes ames avaient fini par considéré l'ancêtre comme un vieux croulant ou bien un grand-père pour certain. Nilusu restait finalement ancré dans cette image d'une banalité abandonnée, comme s'il était finalement transparent. Il ne montrait pas de capacités particulières et encore moins de volonté à défier qui que ce puisse être. En revanche, ceux qui le côtoyaient depuis bien longtemps pouvaient attester d'une chose des plus étranges. Malgré les années, malgré les décennies, malgré les siècles qui passaient, le vieil homme restait là, existant, subsistant. Il ne mangeait pas à sa faim, il était souvent seul mais il subsistait : c'était comme s'il parvenait toujours à avoir suffisamment d'énergie spirituelle pour survivre.

Au delà de l'étonnement, c'est ainsi que le vieil homme fit la rencontre d'une première jeune femme. D'abord respectueuse, elle aussi affamée vint à se servir de l'ancêtre une nouvelle fois. Presqu'inscrit dans son ADN, il ne se rebella pas et accepta finalement de laisser sa pitance à sa douce et belle. Nilusu répétait cette opération chaque fois que c'était possible mais il finit bien vite, il fallut tout de même près d'une décennie, par se rendre compte qu'il n'était une nouvelle fois qu'un outil. La jeune Linedea de son doux nom le trompait en réalité avec la bande du district et ce depuis le premier jour. Si tout semblait bien élaboré au départ, l'ancêtre ne s'étant jamais véritablement posé de questions, il n'avait finalement fallu que d'une erreur dans un point de rendez-vous pour révéler le véritable problème.

Comme chaque fois, Nilusu était parvenu à récupérer quelques fruits et avait simplement suivi les instructions, près à retrouver la jeune femme blonde. Plus rapide qu'à l'accoutumée, il était possible de considérer qu'il revenait plus tôt que prévu du travail en quelque sorte. Etonnamment, elle lui avait donné rendez-vous dans un entrepôt. Cela n'avait pas véritablement étonné l'ancêtre, il arrivait qu'elle se baladait et peut être travaillait-elle elle aussi pour pouvoir se sustenter. Arrivant aux abords, personne ne l'attendait, poussant des portes battantes pour entrer dans le bâtiment, le vieillard trouva simplement un petit trio de voleurs s'amusant entre eux et ricanant fortement, attablés à jouer aux cartes et avec un couteau. Voyant l'ancêtre arriver, ils se mirent à rire un peu plus fort tandis que d'autres bruits plus forts retentissaient derrière un rideau, des bruissements féminins. D'un simple geste, l'un d'eux indiqua la direction pour lui permettre d'y aller et c'est ainsi qu'il la vit.

Le couple se tenait dans une position lascive de dos. Nils dut reconnaitre un certain art de la basse besogne mais il ne fit qu'arquer un sourcil et tousser pour indiquer sa présence aux deux personnes en pleine action. Les bruits s'interrompirent et les deux protagonistes se retournèrent : Linedea couvrant son corps tandis que l'autre ne se donna pas cette peine. Préférant sortir lentement du lit comme si un simple cloporte l'avait interrompu, il se saisit d'un cigare qu'il alluma sans autre forme de procédure.

- Tu veux quoi ?

La question prit de cours la jeune demoiselle qui répondit bien vite tandis que son amant exhalait sa fumée d'un air nonchalant.

- C'est pour moi, il nous apporte...

Nilusu expira à son tour. S'il comprenait ce qui se jouait devant ses yeux, il réalisa finalement la bassesse du monde dans lequel il avait atterri. Le paradis de la Soul Society n'avait rien de paradisiaque et il avait terminé de se leurrer en cet instant. Le vieil homme déposa le panier non-loin comme si de rien n'était en se rapprochant avant de se mettre à sourire aux deux. La jeune blonde détacha son regard comme si elle était couverte de honte tandis que le chef de la bande semblait quant à lui chercher à prendre le dessus.

- Et à moi t'as rien rapporté le vioque ?

Le vieillard s'arrêta tandis qu'il partait. Il aurait pu bouillir de rage et de désespoir, tout ça n'était en réalité qu'une répétition de sa vie sans même qu'il ne le sache mais il se contint, faisant semblant de ne pas comprendre la situation, comme si c'était le déclic qui lui manquait.

- T'as réussi à trouver à manger toute seule finalement ? Je t'attends à la maison ma mie.

Il n'en pensait pas un mot. En revanche, le jeune homme se mit à rire à gorge déployée. Il rit si fort que son cigare tomba de sa bouche. Nilusu partit alors. Il ne se retournerait en réalité plus. L'événement l'avait rendu un peu plus égoiste qu'habituellement. Après tout, pourquoi la notion de plaisir n'était-il réservé qu'aux maitres ? Non, lui aussi avait décidé de sortir de sa condition et, la seule chose qui lui serait alors possible de faire, c'était de quitter le district. Une seule solution, devenir Shinigami, peut-être pourrait-il alors rejoindre le Seireitei et manger à sa faim.

______________________________

Le départ du vieux s'était déroulé dans les règles de l'art : pourtant habitué à se socialiser un minimum, il avait juste rempli un baluchon, pris quelques fripes mal dégrossies avant de partir. Au détour d'une ruelle, il retrouva un morceau de pain dans une de ses poches qu'il avait sans doute oublié depuis bien longtemps et chérit ce dernier tout en versant une larme. En quelque sorte, ce serait le dernier avant un long moment.

Il fallut plusieurs jours à l'ancêtre pour rejoindre le Seireitei. Le monde des shinigamis était pourtant des plus obscures pour le vieillard qui n'avait que peu eu l'occasion de rencontrer de tels êtres. La seule chose qu'il avait compris fut surtout que ce sort serait bien plus enviable que celui de vieux cocu d'un district du Rukongai. Persuadé de son meilleur sort, il chercha le moyen de rejoindre ces derniers et parcourut ainsi plusieurs districts de cette manière.

Dans les premiers, on ne le prit pas au sérieux. Le vieil homme prenait des coups dans d'autres mais peu à peu, sa personnalité se forgeait une sorte de carapace. Sans le savoir, c'était un peu comme s'il revivait une forme de croisade de son époque de vie mortelle, une forme de campagne sauf que pour la première fois de sa non-vie, il n'avait des réactions que centrées sur lui-même. Il en faisait en revanche le moins possible, alternant quelques décennies nouvelles entre casinos, bordels et jolies filles. En réalité, le vieil homme avait beaucoup de mal à séduire, une forme de traumatisme en lien avec son côté cocu sans doute. Néanmoins, il trouva une forme de vengeance en tentant tout de même sa chance chaque fois que cela était possible. Malheureusement, il se faisait éconduire bien plus d'une fois : qui voulait bien d'un vieux croulant après tout ?

______________________________

- Réveille-toi !

Lorsque le vieil homme ouvrit les yeux, il remarqua que beaucoup de jeunes le dévisageaient autour de lui. Beaucoup d'entre eux affichaient un regard renfrogné voire colérique pour certains comme s'il avait fait une grosse connerie. Ecarquillant les yeux et clignant à de multiples reprises, Nilusu bailla à s'en décrocher la mâchoire avant de se redresser dans son lit de camp. Visiblement, il avait ronflé si fort qu'il avait réveillé la plupart du dortoir et très certainement empêché de dormir l'entièreté de la salle. Plusieurs oreillers gisaient à côté du vieil homme comme si bon nombre des étudiants avec lui avaient tenté de le frapper avec ces projectiles pourtant inoffensifs.

Encore à moitié dans son rêve, le vieil homme dévisagea les quelques personnes présentes et fit un cul de poule avec sa bouche comme pour embrasser le premier venu. La nuit avait été torride dans l'esprit de l'ancêtre mais son camarade ne le vit pas du même oeil et une patate de forrain vint cueillir le visage de l'ancêtre qui se réveilla convenablement en tombant du lit cette fois-ci. Retenu par les autres, certains se moquèrent de la situation avant que la porte du dortoir ne s'ouvre à la volée, révélant un professeur.

L'homme entra nonchalament et si d'ordinaire il avait pour habitude de s'énerver, c'était plutôt avec une voix lasse qu'il entama la conversation.

- C'est pas bientôt fini ce boucan ? Allez, tous en tenue, entrainement aujourd'hui.

Les étudiants se désintéressèrent alors tous du vieillard qui avait rejoint les rangs il n'y avait que peu de temps. Les cours théorique et le Kido n'avaient que peu d'intérêt pour les mâles plein d'hormones qu'étaient ces jeunes remplis de particules spirituelles. Non, ils n'avaient vraiment qu'une hate, se foutre sur la gueule. Si en plus ils gagnaient le droit de se venger sur le nouveau venu, ils n'allaient pas se gêner.

Nils arriva finalement en retard au cours de Zanjutsu. Quand il pénétra dans la cour, il dut subir un sermont par son maitre qui devait bien être quatre fois moins agé que lui. Se curant les oreilles pendant le discours, le vieillard ne releva et ne dit rien, après tout, il était habitué à être une forme de bête noire de l'école. Il avait pu rejoindre l'académie Shinigami malgré son grand âge car il possédait une dose correcte de particules spirituelles pour son âge. Elle était d'ailleurs particulièrement immature malgré l'âge avancé de l'homme.

- ... et qu'est ce que c'est que cette tenue ?! T'aurais au moins pu...

Tout rentrait d'une oreille et sortait de l'autre au point que le Geratzeou enfila son auriculaire dans l'oreille gauche comme si un bouchon de cire le gênait. Lorsqu'il comprit que c'était terminé, il alla rejoindre finalement les autres qui entamaient plusieurs enchainements avec leurs sabres. Prêt à les imiter, il s'imisça dans les rangs des étudiants et chercha à dégainer son sabre d'entrainement.

- Et merde...

Portant sa main à sa ceinture, il dut se rendre à l'évidence, c'en était définitivement devenu une habitude mais il l'avait oublié. Beaucoup ricanèrent de la situation mais, ne se démontant pas pour autant, Nilusu imita les mouvements avec assez peu d'entrain en mimant les gestes.

- Deux par deux et en duels. Geratz... où est ton sabre ?
- Il a glissé chef !


Le respect avait définitivement disparu. Nilusu ne prenait tout bonnement rien au sérieux. Un sourire en coin, il se doutait qu'il allait pouvoir esquiver cette séance d'entrainement. Prêt à se rendre sur le côté pour observer le cours plutôt que de le subir, il commença à retourner au dortoir mais le professeur semblait avoir prévu le coup cette fois-ci.

- Un instant ! Tu me fais le coup à chaque fois ! Je savais que tu l'oublierais... j'en ai prévu un autre au cas où.

Nilusu arrêta de sourire tandis que son prof lui envoyait le sabre. Le rattrapant au vol, il dut refaire les exercices avec son arme. Une forme de dégout l'envahit en quelques secondes. Si le vieillard ne mettait absolument aucun entrain à faire les exercices avant de se mettre en duo, son geste et sa technique semblaient en revanche parfaite, comme s'il avait fait ça toute sa vie. Nilusu soupira tandis que le maitre du cours haussa un premier sourcil.

- Tu affronteras Wedge.

Nilusu soupira une nouvelle fois avant de prendre place face à son adversaire. Visiblement, le jeune homme brun en face de lui était ravi de cette décision. Il allait enfin pouvoir se venger de cette affreuse nuit de sommeil qu'il avait passé la veille. A peine le coup d'envoi fut-il donné que le jeune Wedge poussa un cri pour fondre sur l'ancêtre. Nilusu, complètement surpris par une telle attaque écarquilla les yeux et ses muscles réagirent pour lui, comme si une mémoire musculaire extraordinaire était à l'oevre sans qu'il ne sache trop comment. D'un simple geste, le vieil homme para le coup sans se déplacer. Wedge reprit vite position avant de s'élancer à nouveau mais il était bien trop prévisible. sans bouger une nouvelle fois, Nilusu para et vit une ouverture pour contre-attaquer. D'un geste presque chirurgical, il s'apprêta à frapper et s'arrêta à quelques centimètres à peine de l'épaule de son adversaire, comme s'il venait de réaliser quelque chose.

- AhhahAAHHhhHHAHAA ! J'me rend j'ai perdu !

Laissant tomber son sabre, Nilusu avait avorté son attaque avant qu'elle ne touche et en avait profité pour se barrer à l'opposé du champs de bataille. Le professeur fronça les sourcils, remarquant alors que l'ancêtre avait bien plus de talent à l'épée que bon nombre d'étudiants ici mais visiblement, le vieil homme s'en fichait. Après quelques pas, Nils s'arrêta comme pétrifié.

"Lâche ! Couard ! Bats-toi raclure !"

Tournant la tête, il remarqua que Wedge était en pleine exultation de sa victoire, répétant à qui voulait l'entendre que ses assauts avaient du être bien trop fort pour que le vieil homme ne puisse faire quoi que ce soit, raison pour laquelle il abandonnait.

"Allez ! Tue-le ! Bouffe-le ! Explose-le !"

Personne ne semblait pourtant lui adresser la parole... c'était comme si c'était quelque chose dans sa tête qui lui parlait. Posant son regard sur le sabre, Nilusu blémit quelques peu avant de détourner le regard. Prétextant un mal de tête, le vieil homme retournerait au dortoir... sans son sabre.

Emme
Nilusu Geratzeou
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